
Une Amitié Virile Au Sommet De L’État : « Il Me Tapait Dans Le Dos Comme Un Copain De Régiment »
Cette affection sincère prend des allures surprenantes dans les coulisses du pouvoir. Rachida Dati dévoile une complicité qui détonne avec les codes habituels de la République.
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« Il me tapait dans le dos comme un copain de régiment. Je l’appelais Jean-Claude Duss, comme dans les Bronzés », raconte-t-elle avec amusement. Une familiarité déconcertante entre l’ex-président et sa ministre, qui révèle une relation bien éloignée des protocoles officiels.
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Cette camaraderie virile illustre parfaitement la personnalité de Sarkozy. Pas de chichis, pas de politesses de salon. Avec Dati, il retrouve cette spontanéité, cette authenticité qu’il privilégie dans ses relations personnelles.
Le surnom « Jean-Claude Duss » en dit long sur leur complicité. Référence au personnage mythique des Bronzés, cette plaisanterie révèle une intimité particulière, celle de deux personnalités qui se comprennent au-delà des apparences.
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« On a une vraie amitié, il m’aime beaucoup et il m’aime pour de vrai », réaffirme Dati. Cette insistance sur la réalité de leur lien contraste avec les spéculations malveillantes. Au sommet de l’État, l’amitié authentique devient un luxe rare.
Cette relation fraternelle explique peut-être pourquoi Dati n’a jamais hésité à défendre son mentor, même dans les moments les plus difficiles.
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