Les commerces pourraient ainsi accueillir des clients d’ici la fin du mois de novembre, «au 1er décembre au plus tard». Sachant que le Black Friday, prévu pour le 27 novembre, ainsi que les fêtes de fin d’année qui s’approchent à grands pas, représentent une période cruciale pour ces professionnels.
« On ne peut pas voir des grandes enseignes qui pratiquent le Black Friday pendant que nous attendrons patiemment alors que nous sommes fermés depuis des semaines. Nous pourrions descendre dans la rue si nous ne sommes pas entendus », se révolte le représentant des petits commerçants.
« Si ces commerçants veulent travailler jusqu’à 22 heures – l’heure du couvre-feu à Paris -, s’ils veulent travailler le dimanche, il faut les laisser faire. Il faut arrêter cet État bureaucratique qui veut tout contrôler », a insisté la patronne de la région capitale.
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