
Nigloland Face À Ses Responsabilités : Entre Réglementation Et Inclusion
Cet appel au changement trouve un écho immédiat. Face à la polémique, Nigloland sort de son silence. Les chiffres officiels tombent : 12 attractions sur 33 sont inaccessibles aux personnes portant une prothèse de membre inférieur.
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Le parc révèle l’existence d’un guide d’accessibilité détaillé. Ce document précise les conditions d’accès pour chaque attraction selon le type de handicap. Problème : cette information cruciale n’atteint visiblement pas tous les visiteurs concernés. Cassandra ignorait ces restrictions avant son arrivée.
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Le règlement exige un « minimum de membres pour être maintenu dans l’attraction ». Une mesure de sécurité qui interroge : comment concilier protection des usagers et droit à l’inclusion ?
Dans son communiqué officiel, la direction reconnaît ses torts. « Nous comprenons le ressenti et l’émotion de cette jeune femme, qui n’a pas pu accéder à certaines attractions pour des raisons techniques et réglementaires. Nous regrettons sincèrement sa frustration », déclare-t-elle.
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Le parc précise que ses équipes ont « tenté, dans la mesure du possible, de faciliter l’expérience de son fils ». Un geste qui ne compense pas l’humiliation subie.
Au-delà des excuses, Nigloland annonce poursuivre le dialogue avec Cassandra. Cette démarche pourrait-elle transformer un incident douloureux en avancée pour l’accessibilité ? Les prochains échanges entre la maman et la direction détermineront si cette promesse se concrétise.
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