« Je suis très fier ! » : Samuel Le Bihan se confie sur sa complicité artistique avec Angia
L’acteur ne cache pas son émotion lorsqu’il évoque la participation de sa fille à Carpe Diem. « Travailler avec elle, même en coulisses, c’est un cadeau », déclare Samuel Le Bihan, insistant sur la maturité créative d’Angia. Le tournage à Nice, près de leur domicile, a permis à ce père de concilier vie professionnelle et moments privilégiés avec son ado, entre scènes jouées et conseils chorégraphiques.
« Elle a un œil naturel pour l’art, ça m’impressionne », souligne-t-il, révélant comment l’adolescente a suggéré des ajustements pour rendre la danse plus fluide. Cette expérience renforce leur lien : Angia découvre les rouages d’une série tout en gardant son statut de collégienne studieuse, tandis que son père savoure cette transmission unique, loin des projecteurs.
Carpe Diem : quand la série devient une passerelle entre Samuel Le Bihan et sa fille
Cette expérience artistique partagée marque un premier pas pour Angia dans l’univers du cinéma. « Elle a vu comment une série se construit, du texte à la réalisation », note Samuel Le Bihan, ravi d’avoir initié sa fille aux réalités du métier. Si l’adolescente reste focalisée sur ses études, son père n’exclut pas qu’elle embrasse une carrière artistique plus tard : « Je la soutiendrai, quel que soit son choix ».
La série Carpe Diem laisse ainsi un héritage familial au-delà du scénario. Pour l’acteur, ces semaines de tournage à Nice représentent bien plus qu’un projet professionnel : une occasion rare de partager sa passion avec sa fille, tout en respectant son rythme d’enfant. « Le plus beau, c’est qu’elle ait trouvé sa place naturellement, sans pression », conclut-il, soulignant la grâce discrète de cette transmission père-ado.