
Le Coût Financier Prohibitif Des Solutions Privées Pour Les Retraités
Cette réalité financière, Linda l’a découverte à ses dépens. Pour adapter son dentier dans le secteur privé, elle a dû débourser plus de 200£, soit une semaine entière de pension de retraite.
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« En ce moment, mon dentier n’est pas trop mal mais je sais que je vais devoir le faire réaligner ou remplacer à un moment », explique-t-elle. Le coût à prévoir ? 1 500£. Une somme astronomique pour cette retraitée qui se considère comme faisant partie des « personnes les plus pauvres du pays ».
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« Je ne peux pas me le permettre. Et je ne devrais pas avoir à m’endetter pour voir un dentiste », dénonce Linda. Un cri de révolte qui met en lumière l’absurdité du système.
Car le paradoxe est saisissant : cette retraitée a cotisé toute sa vie à la NHS et à la sécurité sociale britannique, mais ne peut bénéficier des soins gratuits auxquels elle a droit. « Je suis retraitée et je devrais pouvoir bénéficier de traitements dentaires gratuits, mais je n’arrive pas à l’obtenir malgré tous les impôts que j’ai payé », s’insurge-t-elle.
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Sa comparaison avec une assurance défaillante frappe par sa justesse : « Si l’on payait une assurance et qu’elle ne nous couvrait pas, elle devrait en répondre. Pourtant, c’est bien ce que fait le gouvernement ».
Un système qui transforme les soins de base en privilège financier pour les plus aisés.
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