Une main dans la main qui défraye la chronique, une confidence télévisée qui éclaire soudain trente ans de vie privée ultra-protégée. Alors que Ségolène Royal nourrit toujours des ambitions politiques à 71 ans, son ancien compagnon Bruno Colmant brise enfin le silence sur « une histoire transformatrice » restée dans l’ombre. L’économiste belge livre pour la première fois les coulisses de cette relation révélée malgré eux par la presse people… et dévoile comment elle a secrètement influencé leurs vies.
Une relation révélée par la presse people
C’est un cliché volé qui met fin à des années de discrétion. En février 2020, le magazine Closer publie des photos surprenantes : Ségolène Royal se promenant main dans la main avec Bruno Colmant dans les rues de Paris. L’image fait le tour des rédactions, révélant au grand public une relation jusqu’alors gardée secrète.
Derrière cet homme élégant se cache un éminent économiste belge de 62 ans, membre de l’Académie royale de Belgique. Interrogé sur sa proximité avec l’ancienne ministre, Bruno Colmant se montre aussi sobre que mystérieux : « Je suis proche de Ségolène Royal », lâche-t-il sans autres précisions. Une réponse laconique qui contraste avec l’intimité capturée par l’objectif des paparazzis.
Le paradoxe saisit les observateurs : comment ce couple de personnalités publiques a-t-il réussi à préserver son jardin secret pendant des mois ? Les rares indices disponibles dessinent les contours d’une romance discrète, à mille lieues des tumultes médiatiques qui ont marqué la rupture de Royal avec François Hollande.
« Une histoire qui m’a transformé » : les confidences télévisées de Bruno Colmant
Trois ans après les révélations de Closer, Bruno Colmant sort enfin de sa réserve. Invité sur la chaîne belge LN24 en 2023, l’économiste évoque sans détour son histoire avec Ségolène Royal. « C’est une belle histoire que j’ai vécue et qui m’a profondément transformé à titre personnel », confie-t-il devant les caméras, les yeux pétillants d’émotion contenue.
L’homme d’affaires dévoile les coulisses de la fuite médiatique de 2020. « J’ai été prévenu la veille », révèle-t-il sobrement. Une information qu’il partage immédiatement avec sa fille pour éviter tout malaise familial. La réaction de cette dernière surprend par son détachement : « Elle a accueilli la nouvelle avec un désintérêt absolument total », sourit-il, amusé par le contraste entre le scandale médiatique et l’indifférence familiale.
Ces confidences inédites dessinent les contours d’une relation apaisée, loin des remous de la vie politique française. Le ton nostalgique de Colmant laisse deviner une complicité préservée, même si l’histoire d’amour appartient désormais au passé.
De la discrétion assumée à la séparation
Un contraste saisissant oppose les deux grandes ruptures de Ségolène Royal. Alors qu’elle avait publiquement acté la fin de son union avec François Hollande en 2007, la politicienne garde un silence absolu sur sa relation avec Bruno Colmant. « J’ai demandé à François Hollande de quitter le domicile », avait-elle déclaré sans ambages aux journalistes après leur séparation, marquant ainsi son franc-parler légendaire.
Cette transparence disparaît totalement après 2020. Aucune déclaration officielle ne vient commenter les photos avec l’économiste belge, ni la récente révélation de leur histoire par Colmant lui-même. Une stratégie assumée : depuis sa rupture houleuse avec le futur président de la République, Royal protège jalousement sa vie sentimentale des projecteurs.
Le parallèle entre les deux époques intrigue les observateurs. La même femme qui avait orchestré une séparation médiatisée à l’extrême choisit désormais l’ombre plutôt que les plateaux pour tourner la page. Une évolution qui souligne sa volonté farouche de dissocier désormais sphère privée et engagement public.
Ségolène Royal aujourd’hui : entre médias et ambitions politiques
À 71 ans, Ségolène Royal maintient son influence sur la scène publique française. De septembre 2023 à début 2024, elle s’impose comme chroniqueuse régulière dans Touche pas à mon poste, décryptant l’actualité avec sa franchise habituelle. Une reconversion médiatique qui ne fait pas oublier ses aspirations politiques : en 2024, elle exprime ouvertement son désir de devenir Première ministre si les circonstances le permettent.
Loin de se contenter d’un rôle d’observatrice, l’ancienne candidate à la présidentielle de 2007 intensifie son engagement sur les terrains sociaux et environnementaux. « Elle multiplie les prises de parole publiques », soulignent ses proches, témoignant d’une énergie intacte malgré les aléas de sa vie privée. Un équilibre subtil entre héritage politique et nouveaux défis, qui dessine les contours d’une carrière toujours en mouvement.
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