
Image d’illustration © Buzzday
Le Saut Fatal : Quand La Passion Devient Tragédie
La scène est glaçante. Samedi matin, dans la campagne tranquille du sud de la Seine-et-Marne, un homme de 44 ans se dresse au sommet d’une éolienne de 80 mètres. Le vent souffle. Il vérifie son équipement une dernière fois, puis s’élance dans le vide.
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Cette fois, quelque chose va mal. Très mal.
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Le parachute, ce compagnon fidèle qui l’a sauvé des dizaines de fois, ne s’ouvre pas. La chute libre se transforme en chute mortelle. Quatre-vingts mètres de vide, quelques secondes d’horreur, puis l’impact brutal contre le sol d’un champ entre Arville et Gironville.
Le silence retombe sur la campagne seine-et-marnaise. Plus aucun bruit. Plus aucun mouvement.
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Le lendemain matin, les gendarmes découvrent le corps sans vie de cet adepte du base jump. Une discipline qu’il pratiquait pourtant avec expérience, cette passion de l’extrême qui consiste à sauter de structures fixes en n’ouvrant son parachute qu’au dernier moment.
Pour lui, ce dernier moment n’est jamais venu. Son équipement l’a trahi à l’instant le plus critique, transformant sa passion en tragédie dans la campagne francilienne.
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