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SSSS sur son billet : Tom Grond (100 vols/an) révèle ce qui l’a surpris après l’Iran et l’Irak « Les douanes ne m’ont pas… »

Julie K.
5 Min de lecture

La chute inattendue après l’Iran et l’Irak

Arrivé sur le sol américain, Tom Grond s’attend à un interrogatoire serré concernant ses voyages en Iran et en Irak, clairement visibles sur son passeport. Contre toute attente, les agents des douanes se contentent d’une simple confirmation : « Les douanes ne m’ont pas posé une seule question… juste confirmé ma déclaration », révèle-t-il.

Cette absence de zèle questionne : le « SSSS » servirait-il aussi à fluidifier l’arrivée des passagers déjà contrôlés ? Tom l’assure : « Une fois le protocole passé, tout est plus rapide à l’atterrissage ». Un détail qui relativise l’angoisse générée par le fameux code.

SSSS = panique ou formalité ? Le verdict de l’expert

Pour Tom Grond, le code « SSSS » ne mérite pas sa réputation terrifiante. « Ne paniquez pas : prévoyez juste 20 minutes de plus et soyez coopératif », conseille-t-il. Un état d’esprit qui permettrait, selon lui, de désamorcer le stress et de passer le contrôle sans encombre.

L’influenceur insiste sur un avantage méconnu : les douanes américaines accélèrent le processus à l’arrivée pour les passagers déjà contrôlés. « Je m’attendais à un interrogatoire… finalement, tout était réglé avant le décollage », explique-t-il. Une réalité qui transforme le « baiser de la m\*rt » en simple formalité pour les voyageurs transparents.