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Stephen King craque pour cette série Netflix notée 100% : Le gamin est un petit…

Julie K.
7 Min de lecture

Entre Stephen King et les séries angoissantes, c’est une histoire qui dure. Mais quand le maître de l’horreur encense To the Lake, série russe post-apocalyptique notée 100% sur Rotten Tomatoes, l’attention est forcée. Sur fond de virus mortel à Moscou, cette production Netflix mêle suspense glacé et vodka, le tout ponctué d’un tweet surprenant de l’écrivain : « Le gamin est un petit… ». Un cocktail qui électrise les abonnés depuis 2020, et continue de faire trembler les écrans en 2025.

Stephen King et la série qui défie les attentes : décryptage d’un coup de cœur surprise

L’approbation de Stephen King n’est pas un cadeau, surtout pour une série étrangère. Pourtant, To the Lake parvient à arracher au roi de l’horreur un tweet élogieux en 2020, où il décrit avec humour « le gamin emmerdeur » de l’intrigue. Un soutien inattendu pour cette production russe, qui explose les codes du genre post-apocalyptique avec un virus mortel et des paysages glacés. La série cartonne dès sa sortie sur Netflix, mais c’est son score parfait de 100% sur Rotten Tomatoes qui consacre son statut de pépite intemporelle.

Le mystère reste entier : comment cette fiction, adaptée du roman d’Yana Vagner et réalisée par Pavel Kostomarov, a-t-elle séduit l’auteur de Ça ou Shining ? La réponse se niche dans son mélange de tension brute et de détails absurdes, comme ces personnages buvant de la vodka pour survivre. Une recette qui transcende les frontières, prouvant que l’angoisse n’a pas besoin de sous-titres.

To the Lake : immersion dans l’apocalypse glacée de Moscou (et le virus qui fait trembler Netflix)

Moscou transformée en piège mortel : voici le décor de To the Lake. Un virus inconnu, plus redoutable qu’une tempête de neige sibérienne, décime la population. Les survivants, prisonniers du froid et de la paranoïa, fuient vers le lac Onega. « L’humanité se mesure à la capacité à partager une bouteille de vodka », semble murmurer la série, qui mêle courses-poursuites et tensions claustrophobes dans un paysage urbain déserté.

La force du scénario ? Des choix cornéliens et un réalisme brut. Entre un père prêt à tout pour protéger son fils « emmerdeur » et des alliances trahies, chaque épisode creuse la psyché des personnages. Les critiques saluent une « intrigue palpitante », où le vrai monstre n’est pas le pathogène, mais la peur de l’autre. Un miroir glaçant de nos propres réflexes de survie, servi par une photographie qui fait grincer les dents de froid.

100% sur Rotten Tomatoes : comment cette production russe a conquis la critique internationale

Le 100% sur Rotten Tomatoes n’est pas qu’un chiffre : c’est un ovni dans l’univers des séries post-apocalyptiques. To the Lake réalise l’exploit rare d’unanimité, saluée pour son « intrigue palpitante » et sa « réalisation » minutieuse. Les spectateurs abondent, comme cet internaute bluffé sur Google : « On plonge très vite dans un univers chaotique où une seule chose compte : sauver sa vie ! ».

Comment une série non anglophone parvient-elle à ce statut culte ? L’universalité des thèmes – survie, trahison, instinct parental – joue un rôle clé. Les paysages désolés de Moscou, les personnages imparfaits et les scènes d’action brutales séduisent autant que les moments d’humanité fragile. Produite par la société de Margot Robbie, adaptée du roman à succès d’Yana Vagner, la série prouve que les frontières artistiques n’existent plus. Même les critiques les plus exigeants capitulent devant ce thriller glaçant qui réinvente les codes du genre.

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