Un Divertissement Efficace Aux Influences Assumées
Cette profondeur psychologique ne masque pourtant pas les références assumées de Philip Koch. « Brick » puise clairement dans l’ADN d’« Escape Game », particulièrement lorsque les protagonistes passent d’appartement en appartement pour y faire des découvertes terrifiantes. L’influence de « Cube » se ressent également dans cette mécanique de survie collective où l’entraide devient vitale.
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Matthias Schweighöfer et Ruby O. Fee portent efficacement cette tension. Le duo, couple à la ville et déjà réuni dans « Army of Thieves » de Zack Snyder, maîtrise parfaitement cette alchimie entre intimité conjugale et urgence existentielle. Leur complicité naturelle renforce la crédibilité de ce mariage en crise.
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Pour Philip Koch, « Brick » marque sa troisième collaboration avec Netflix après « Tribes of Europa » et « Soixante Minutes ». Le réalisateur allemand confirme sa capacité à créer des atmosphères oppressantes avec des moyens mesurés. Son format resserré de 1h30 seulement évite les longueurs et maintient un rythme soutenu.
Le film délivre toutes les réponses attendues dans ses dernières scènes, satisfaisant ainsi les spectateurs en quête de résolution. Quelques scènes de violence justifient sa classification « déconseillé aux moins de 16 ans » sur la plateforme.
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« Brick » n’invente rien de révolutionnaire mais assume pleinement ses influences pour offrir un divertissement passable. Les amateurs du genre y trouveront leur compte, entre claustrophobie maîtrisée et révélations bien amenées.
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