Conservation optimale : durée, contenants idéaux et astuces pour préserver arômes et couleurs
Le secret d’herbes séchées qui gardent leur punch ? Des bocaux en verre hermétiques stockés à l’abri de la lumière, selon Tata Zakia. L’experte prévient : « Un pot en plastique ou un sachet papier laisse passer l’humidité et oxyde les arômes en quelques semaines ». Pour maximiser la durée de conservation – jusqu’à 18 mois –, elle conseille de remplir les contenants à ras bord et de les étiqueter avec la date.
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Contrairement aux idées reçues, émietter les herbes avant stockage n’est pas recommandé. Mieux vaut les garder en feuilles entières et les broyer au dernier moment pour « un parfum deux fois plus intense ». Enfin, Tata Zakia rappelle une règle d’or : éviter les variations de température. Son combo gagnant ? Un placard loin du four ou de la fenêtre, idéal pour stabiliser les saveurs mois après mois.
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Impact économique et écologique : combien d’argent peut-on vraiment économiser en évitant le gaspillage ?
Selon les calculs de Tata Zakia, sécher ses herbes fraîches permettrait d’économiser jusqu’à 80% par rapport à l’achat de pots en supermarché. Exemple avec le persil : un bouquet frais à 0,99€ donne 30g de séché, contre 2,50€ pour 10g en version industrielle. « Quand on sait qu’un Français jette en moyenne 20kg de nourriture par an, dont des herbes, c’est du bon sens économique », souligne-t-elle.
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L’impact écologique n’est pas négligeable : chaque kilo d’herbes séchées maison évite 300g de plastique d’emballage et 5 litres d’eau utilisés en production industrielle. En appliquant cette méthode à toutes ses herbes fanantes, un foyer pourrait réduire son gaspillage alimentaire de 7% annuellement. Une démarche simple mais puissante, résume l’influenceuse : « Moins de camions sur les routes, moins de déchets, plus de sous dans le portefeuille ».
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