Heaven May et business mindset : la métamorphose en entrepreneuse
En 2022, Thylane Blondeau lance Heaven May, une marque de prêt-à-porter axée sur « l’élégance décontractée ». Sa première collection, vendue en édition limitée, s’écoule en 72 heures, confirmant son statut d’influenceuse mode. Des collaborations avec des joailliers parisiens et des créateurs émergents suivront, mixant luxe et accessibilité.
La jeune femme impose une stratégie anti-retouche et met en avant des modèles « de toutes morphologies ». « Je veux casser l’image robotisée du mannequin », explique-t-elle dans une interview, tout en développant des partenariats avec des écoles de mode. Son compte Instagram, suivi par 5 millions de personnes, devient le laboratoire de ses créations, où elle teste looks et concepts en direct.
Projets cachés et ambitions secrètes : ce que l’industrie ne sait pas encore
Thylane Blondeau prépare une surprise cinématographique avec un réalisateur oscarisé, dont le tournage démarrera en 2026. Parallèlement, elle suit des cours discrets à Central Saint Martins à Londres pour « maîtriser tous les aspects du design ». Une source proche révèle aussi son projet de fondation pour protéger les enfants modèles, inspiré de son expérience.
« Ma plus grande fierté n’est pas dans les magazines », lance-t-elle énigmatiquement lors d’un shooting récent. Les observateurs notent ses rencontres discrètes avec des ONG internationales, tandis que son booker évoque des partenariats hybrides mêlant art et engagement social. De quoi alimenter les spéculations sur une prochaine révolution dans son parcours déjà hors norme.