
Quand La Technologie Médicale Devient Mortelle : Décès Par Crises Cardiaques Multiples
Cette femme horrifiée vient d’assister à l’agonie de son mari. L’homme, âgé d’une soixantaine d’années, s’effondre brutalement. Son corps ne supporte pas le choc de l’aspiration magnétique.
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« Il m’a dit au revoir et son corps s’est affaissé », témoigne-t-elle, la voix brisée par l’émotion. Ces mots résonnent comme un glas dans les couloirs aseptisés du centre Nassau Open MRI à Westbury, sur Long Island.
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Le cœur de la victime lâche. Une première crise cardiaque le terrasse. Puis une deuxième. Les secours tentent tout pour le ranimer, mais les crises cardiaques multiples ont raison de lui. Il décède des suites de ces arrêts cardiaques successifs, provoqués par le traumatisme de l’accident.
La police du comté de Nassau ouvre immédiatement une enquête. Les enquêteurs sécurisent les lieux, interrogent les témoins, analysent les protocoles de sécurité du centre médical. Comment un établissement de santé a-t-il pu laisser entrer un patient avec 9 kg de métal autour du cou dans une salle d’IRM ?
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L’institution médicale censée soigner et protéger vient de tuer. Un homme de soixante ans, venu simplement aider sa femme à descendre d’une table d’examen, ressort dans un cercueil.
Le drame du 15 juillet 2025 interroge désormais tout le secteur de l’imagerie médicale américaine.
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