Un homme de 61 ans meurt après que sa chaîne se coince dans une IRM : « Il a été aspiré par la machine »

Une Tragédie Qui S’inscrit Dans Une Série D’accidents Mortels

Cette variable incontrôlable a déjà frappé. Le drame new-yorkais ne constitue pas un cas isolé mais s’inscrit dans une sinistre chronologie d’accidents mortels liés aux IRM.

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En 2001, un enfant de six ans perd la vie dans des circonstances terrifiantes. Une bouteille d’oxygène abandonnée accidentellement dans la salle d’examen se transforme en projectile mortel. L’objet métallique, aspiré par le champ magnétique, percute l’enfant avec une violence inouïe.

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Dix-sept ans plus tard, l’Inde connaît un drame similaire. En 2018, un homme succombe après être entré dans une salle IRM en transportant une bouteille d’oxygène métallique. Même scenario, même issue fatale : la force magnétique ne pardonne aucune négligence.

Ces précédents révèlent un schéma récurrent. Les bouteilles d’oxygène, objets lourds et métalliques, deviennent des armes de destruction massive dans l’environnement hospitalier. Leur poids amplifie la violence de l’impact, transformant un équipement de soin en instrument de mort.

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À travers le monde, les incidents se multiplient. Chaque accident rappelle la même leçon : l’IRM ne tolère aucun compromis avec la sécurité. La moindre défaillance, le plus petit oubli, peut basculer vers la tragédie.

L’accident de New York s’ajoute à cette liste macabre. Une chaîne métallique rejoint les bouteilles d’oxygène dans le catalogue des objets meurtriers. La technologie médicale révèle son double visage : salvatrice et impitoyable.

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