
La Psychose Collective : Une Ville Entière Sous L’Emprise De La Peur
La rumeur enfle à une vitesse vertigineuse. En quelques heures, toute Victorville croit à la présence d’un tueur en série. Les réseaux sociaux s’emballent. Des photos de l’ours circulent, accompagnées de théories toujours plus effrayantes. Facebook, Twitter, Instagram : la panique devient virale.
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Les habitants ne sortent plus. Certains barricadent leurs portes. D’autres appellent leurs proches pour les mettre en garde. « On aurait dit une créature vivante », confie un témoin bouleversé. « Cette peau tendue, ces coutures… C’était trop réel pour être faux. »
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L’objet frappe par son réalisme morbide. Plusieurs habitants évoquent des scènes dignes des pires films d’horreur. Massacre à la tronçonneuse, Le Silence des agneaux… Les références macabres fusent. L’ours devient le symbole d’une menace invisible qui plane sur la ville.
Les commerces voisins voient leur clientèle s’évaporer. Personne n’ose plus s’approcher de la station-service. La peur paralyse le quartier. Des parents gardent leurs enfants à l’intérieur. Des groupes de voisins s’organisent pour surveiller les rues.
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L’ampleur de la psychose surprend même les autorités. Jamais un simple objet n’avait déclenché une telle vague de terreur collective. Pendant ce temps, les policiers poursuivent leurs analyses, déterminés à percer le mystère de cette peluche cauchemardesque.