
Image d’illustration © Buzzday
Les Suspects Dans Le Viseur Des Experts
Face à cette énigme marine, les spécialistes convergent vers deux pistes principales. L’absence totale de traces de dents oriente leurs soupçons vers des espèces bien précises, capables d’infliger de telles blessures sans perforer la chair.
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Premier suspect : le tassergal, surnommé « poisson bleu ». Ce prédateur méditerranéen possède une mâchoire redoutable, capable de déchiqueter la peau d’un seul coup sec. Sa technique d’attaque par arrachement correspond parfaitement aux blessures observées sur l’octogénaire.
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Mais les experts pointent surtout du doigt les balistes. Ces poissons tropicaux sèment désormais la terreur dans les eaux des Baléares. « Ils sont particulièrement agressifs », confirme un biologiste marin local. Leur comportement territorial les pousse à attaquer violemment tout intrus qui s’aventure dans leur zone.
Plus inquiétant encore : leur prolifération explosive au large de Majorque. Les changements climatiques ont transformé la Méditerranée en terrain de jeu idéal pour ces créatures belliqueuses. Leur population explose littéralement, créant une menace inédite pour les baigneurs.
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Les balistes ne mordent pas, ils arrachent. Leurs mâchoires puissantes agissent comme des cisailles naturelles. Cette technique d’agression explique parfaitement l’état de la blessure : chair lacérée mais muscles intacts.
Cette multiplication inquiétante de prédateurs agressifs dans des eaux jusqu’alors paisibles questionne l’avenir touristique de l’archipel espagnol.
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