
Image d’illustration © Buzzday
L’Enquête Qui Bascule Dans L’Horreur
Cette course contre la montre mène directement les enquêteurs rue Sacco-et-Vanzetti. La police débarque au domicile familial, fouille chaque recoin. Mais rien. Aucune trace d’un nouveau-né. Pas une goutte de sang. Le pavillon semble parfaitement normal.
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Pendant ce temps, à l’hôpital, les interrogatoires se succèdent. La Moldave, hospitalisée, fait face aux questions pressantes des enquêteurs. L’étau se resserre. Les preuves médicales parlent d’elles-mêmes.
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Acculée, elle finit par reconnaître avoir accouché mais n’en dit guère plus. Ses lèvres se scellent sur l’essentiel : où se trouve l’enfant ? Les policiers repartent bredouilles de cet interrogatoire frustrant.
De retour au domicile, les fouilles reprennent. Une fois, deux fois, trois fois. Les fonctionnaires passent au peigne fin chaque centimètre carré. Greniers, caves, jardin, placards… Rien.
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C’est lors d’une énième perquisition qu’un policier a l’intuition fatale. Son regard se pose sur la machine à laver. Par automatisme, il jette un œil dans le hublot. Ce qu’il découvre le glace d’effroi.
À l’intérieur du tambour gît un nourrisson sans vie. L’horreur absolue frappe les enquêteurs. Même ces professionnels aguerris vacillent devant cette découverte macabre.
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L’enquête prend immédiatement une autre dimension. Les expertises anatomopathologiques et toxicologiques sont ordonnées en urgence. Les questions se bousculent : comment ? Pourquoi ? Depuis quand ?