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Varicosités : Ce que j’ai testé sur mes cuisses en attendant mon médecin a tout changé… Je ne pensais pas que

Julie K.
6 Min de lecture

Ces produits en libre accès que mon pharmacien m’a fait regretter

La crème à la vitamine K promettait d’estomper les rougeurs en 7 jours. Résultat ? Une texture grasse qui colle aux vêtements, et un « effet maquillage » qui disparaît au premier lavage. Son rival, le gel mentholé, soulage les démangeaisons… mais provoque des picotements oculaires à chaque application. « Vous avez les yeux sensibles ? Oubliez ! », m’avertit la pharmacienne.

Le drame survient avec les gélules de marron d’Inde : ballonnements et nausées après 48h, malgré le dosage conseillé. « 30% des patients ne les tolèrent pas », reconnaît mon pharmacien, penaud. Restent les bas de contention : leur prix (45€ la paire) et leur effet « saucisson » en été me découragent. Pire, leur teinte « chair » vire à l’orange sous le soleil – un camouflet pour mes tenues estivales.

La leçon inattendue : ce que mes veines m’ont appris sur mon corps

Mes varicosités m’ont forcée à décrypter les signaux de mon organisme. 8 verres d’eau par jour – et non du café – ont réduit mes gonflements de 70%, révélant une hydratation négligée depuis des années. Mon nouveau réflexe : surveiller la couleur de mon urine comme un « baromètre veineux », une astuce validée par mon médecin.

La sédentarité, mon ennemi juré, prend un visage concret. 40% des Français ignorent que rester assis 6 heures par jour double les risques de troubles circulatoires. Ma solution ? Un vélo bureau d’occasion et des « réunions marchées » en visio. Le chiffre choc : depuis le Covid, les consultations pour varicosités ont bondi de 30%, liées au télétravail intensif. J’adopte désormais la méthode STOP : Signes (rougeurs), Température (chaleur locale), Odeur (peau), Pouls (jambe froide) – mon kit d’autosurveillance ultime.