Une jeune femme vit l’impensable : elle découvre que sa mère a entretenu une relation secrète avec son petit ami pendant un an, en pleine pandémie de Covid-19. Alors qu’elle tente de surmonter ce double choc avec l’aide d’un psychologue, « Vous êtes trop rigide » : cette phrase du professionnel la laisse dévastée, relançant le débat sur le pardon forcé et les trahisons familiales. Son témoignage viral sur Reddit soulève une vague d’indignation et de questions brûlantes.
La découverte cauchemardesque en pleine pandémie
Une source anonyme alerte la jeune femme via les réseaux sociaux en 2020 : son petit ami et sa mère entretiennent une liaison depuis près d’un an. Sous le choc, elle confronte sa mère « presque sur le ton de la plaisanterie », espérant un démenti. Mais celle-ci fond en larmes et avoue tout, confirmant l’indicible trahison.
L’héroïne décrit une douleur « incommensurable » dans son témoignage Reddit. « Ils étaient les deux personnes que j’aimais le plus au monde », écrit-elle, avant de s’isoler pendant des semaines. La pandémie, déjà anxiogène, transforme son quotidien en piège émotionnel, la laissant incapable de partager son drame avec son entourage.
L’effondrement après le double choc
Frappée par une perte de confiance totale, la jeune femme s’enferme dans un silence toxique, incapable de partager son drame même avec ses proches. « Je ne savais plus qui croire, ni comment aimer à nouveau », confie-t-elle sur Reddit. Ses nuits sont peuplées de cauchemars répétitifs, mélangeant souvenirs réels et trahisons imaginaires.
Une amie proche décrit « un état critique » durant ces semaines d’isolement : « Elle refusait de manger, de parler. On craignait un effondrement psychiatrique ». La pandémie, avec ses confinements successifs, rend toute aide extérieure presque impossible, transformant son appartement en prison émotionnelle.
La thérapie en ligne, une bouée de sauvetage inattendue
Poussée par une amie, elle entame à contrecœur des séances en visioconférence avec un psychologue. Contre toute attente, ce suivi devient « salvateur », lui permettant de réapprivoiser ses émotions et d’envisager un futur sans ses traîtres. « Je recommençais à dormir, à croire en autre chose », partage-t-elle.
Mais le passage aux consultations en présentiel marque un tournant sombre. Son psy, qu’elle pensait bienveillant, lâche lors d’une séance clé : « Et si vous envisagiez de pardonner ? ». Sous le choc, elle refuse catégoriquement. C’est alors que le professionnel qualifie son refus de « trop rigide », brisant la confiance patiemment reconstruite.