Témoignage exclusif : le directeur de l’étude révèle les coulisses de la découverte
« Nous ne pensions pas que des recettes aussi simples auraient un impact mesurable sur les biomarqueurs », confie le Dr. Marc Lefèvre, coordinateur de l’étude. Son équipe a été surprise par la réduction moyenne de 2,3 kg en un mois chez les participants, un résultat équivalent à certains régimes hyperprotéinés – mais sans carences nutritionnelles.
Le chercheur insiste sur un point clé : l’effet cumulé des antioxydants. « Comparé à des plats cuisinés à calories égales, ces salades activent 40 % de molécules détoxifiantes en plus », précise-t-il. Son conseil choc : associer systématiquement une source de vitamine C (citron, persil) à l’avocat, pour maximiser l’absorption des nutriments liposolubles.
Comment adapter ces salades à son quotidien
Remplacer les ingrédients selon les saisons devient clé pour maintenir l’efficacité des recettes. En été, le concombre et les tomates cerises peuvent céder leur place à des courgettes râpées ou des pêches. En hiver, opter pour du potiron rôti et des noix grillées préserve l’apport en fibres. Les herbes fraîches (persil, coriandre) restent incontournables pour leur effet détox.
Astuce pro : préparer les vinaigrettes en avance (3 jours max au frigo) et ajouter l’avocat au dernier moment pour éviter son oxydation. Éviter les sauces au yaourt industriel, trop riches en sucres cachés. Les chercheurs rappellent aussi de ne pas cuire les légumes à plus de 100°C, sous peine de détruire 50 % des antioxydants. Un filet de citron en fin de préparation booste l’assimilation des nutriments.