
Image d’illustration © Buzzday
L’Héritage Impossible À Reproduire
Cette révolution attise naturellement les appétits. Hollywood flaire le filon et se précipite pour reproduire la recette magique. Mais la malédiction des suites va frapper de plein fouet.
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Dès 1978, Les Dents de la mer 2 de Jeannot Szwarc tente de surfer sur le succès. Roy Scheider reprend son rôle de Martin Brody, mais l’alchimie a disparu. Le public boude. Les critiques massacrent.
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L’acharnement continue pourtant. En 1983, Les Dents de la mer 3 de Joe Alves mise sur la 3D pour relancer la franchise. Nouvel échec cuisant. Quatre ans plus tard, Les Dents de la mer 4 : la revanche de Joseph Sargent sombre corps et biens.
Le verdict tombe comme un couperet : aucune suite n’égalera jamais le chef-d’œuvre de Spielberg. Roy Scheider lui-même tire sa révérence après le deuxième opus, refusant de s’enliser dans cette spirale de l’échec.
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La formule semble pourtant simple à reproduire. Un requin, de l’eau, des victimes. Mais l’évidence s’impose : « Copié mais jamais égalé ». Le génie de Spielberg ne se décrète pas. Son mélange unique de suspense, de musique iconique et de montée de tension reste à ce jour inimitable.
Cinquante ans plus tard, Hollywood a abandonné. Aucun studio n’ose plus défier le maître des océans.
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