Des rumeurs transphobes visant Brigitte Macron ont fait l’objet d’un rebondissement judiciaire majeur. La cour d’appel de Paris vient de relaxer deux femmes qui avaient propagé sur internet une infox affirmant que l’épouse du président français serait une femme transgenre. Cette décision bouleverse le premier jugement qui avait condamné les prévenues à 500 euros d’amende et 13 000 euros de dommages-intérêts. Ce que révèle cette affaire sur la viralité des fausses informations et leur impact international pourrait bien redéfinir les contours de la lutte contre la désinformation en ligne.
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Un revirement judiciaire qui fait débat. La cour d’appel de…
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