
Image d’illustration © Buzzday
Le Stress Chronique, Principal Coupable De Nos Nuits Blanches
Cette cascade de troubles nocturnes commence toujours par le même coupable : le stress. Dans nos lits, censés être des refuges, se joue chaque soir un véritable combat mental.
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L’hyperactivité cérébrale frappe au moment où le corps réclame le repos. Les pensées se bousculent : cette présentation de demain, cette dispute non résolue, ces factures qui s’accumulent. Le cerveau refuse de ralentir, transformant l’oreiller en champ de bataille.
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Le piège se referme alors. Plus les minutes s’égrènent sur le réveil, plus l’angoisse monte. « Je dois absolument dormir », « Il est déjà tard », « Demain sera terrible ». Cette pression auto-imposée alimente exactement l’inverse de l’effet recherché.
Le Dr Richard Schwab le confirme sans détour : « plus on tente de se forcer à dormir, plus le stress augmente, alimentant un cercle vicieux ». La volonté devient l’ennemi du sommeil.
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Qu’il s’agisse de stress professionnel, de tensions familiales ou d’une anxiété diffuse qui ronge, le résultat reste identique. Cette charge mentale maintient l’organisme en état d’alerte permanent. Les muscles se contractent, le rythme cardiaque s’accélère, les hormones du stress circulent.
Le lit, symbole de détente, devient paradoxalement le théâtre de nos plus grandes tensions. Calmer cette tempête intérieure constitue souvent la première clé pour retrouver des nuits paisibles.
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