Un an après la découverte du crâne d’Émile, l’affaire rebondit avec des révélations scientifiques et des tensions familiales explosives. Les analyses confirment un traumatisme facial violent sur l’enfant, tandis que le suicide du prêtre Claude Gilliot, ayant baptisé le garçon, interroge. Son ordinateur saisi par les gendarmes alimente les spéculations, malgré le démenti du parquet sur un lien entre les deux affaires. « J’en veux énormément à la famille… Tout est parti d’eux », accuse la sœur du religieux, pointant un conflit dévastateur avec les proches d’Émile, toujours suspectés dans cette enquête aux zones d’ombre persistantes.

