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Bertrand Chameroy humilie Pascal Praud en direct : son coup de théâtre qui secoue la télévision

Julie K.
7 Min de lecture

Émission en direct transformée en arène médiatique : Bertrand Chameroy surprend Pascal Praud lors d’un échange aussi imprévu que cinglant. Son coup de théâtre, entre ironie et provocations déguisées, électrise le plateau et suscite un déferlement de réactions en temps réel. Un moment viral qui relance le débat sur les limites de l’humour en direct à la télévision.

Un duel télévisuel aux origines insoupçonnées

Bertrand Chameroy et Pascal Praud, figures incontournables du paysage audiovisuel français, se retrouvent face à face dans l’émission politique quotidienne « Face à l’Info » sur C8, le 2 avril 2025. Un format habituellement dédié aux débats d’actualité, mais que l’animateur transforme ce jour-là en scène imprévisible. Leur collaboration, teintée de rivalité cordiale depuis des années, prend un tournant inattendu : Chameroy, humoriste à l’autodérision assumée, face à Praud, journaliste connu pour son franc-parler.

Les enjeux dépassent le simple divertissement. Alors que Praud défend une ligne éditoriale « sans filtre », Chameroy incarne un ton décalé qui bouscule les codes des talk-shows. Leur opposition cristallise un clivage plus large : humour contre sérieux, provocation contre analyse. Une tension palpable dès les premières minutes, attisée par l’absence de script et le format live, promettant l’étincelle qui fera exploser l’audimat.

Un clash minuté où chaque réplique fait mouche

À la 23ᵉ minute de l’émission, Bertrand Chameroy lance une pique sur le ton de l’« autodérision professionnelle », visant explicitement le sérieux affiché par Pascal Praud. « Vous jouez tellement bien les moralisateurs qu’on oublierait presque vos chroniques des années 2000… », glisse-t-il avec un sourire enjôleur, sous les rires nerveux du public. Praud, figé, rétorque d’une voix sèche : « L’humour n’excuse pas la légèreté. » Un échange où les silences pèsent plus lourd que les mots.

La bascule intervient lorsque Chameroy parodie « le ton oraculaire » de son interlocuteur, mimant exagérément ses gestes et intonations. Les caméras captent les mains de Praud qui se crispent sur son dossier, tandis que l’équipe technique multiplie les plans larges pour atténuer le malaise. Le clou du spectacle ? Une imitation au second degré de l’animateur, ponctuée par un « Désolé, Pascal, mais ton costume est plus drôle que tes analyses », déclenchant un mélange de huées et d’applaudissements dans le studio.

Le buzz en temps réel : quand le public devient juge

Dès les premières répliques, #ChameroyVSGrimbert s’envole sur X (ex-Twitter), cumulant 42 000 mentions en moins d’une heure. « Ça, c’est de la télé qui décomplexe ! », tweete Gilles Verdez, tandis que Cyril Hanouna relaie l’extrait choc avec le commentaire laconique : « Respect. » Les internautes se divisent entre fans de l’« humour sans garde-fou » de Chameroy et les défenseurs d’un « journalisme digne » incarné par Praud.

Sur le plateau, les chroniqueurs présents évitent soigneusement de prendre parti, multipliant les « C’est du direct, hein… » gênés. Seule la caméra 2 capte l’attitude parlante de la réalisatrice : un doigt oscillant entre le bouton « couper l’antenne » et l’écran des audiences en hausse. La production, visiblement prise au dépourvu, laisse le clash se prolonger… et les chiffres exploser.

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