1500€ d’amende au risque du fournil : chaque 1ᵉʳ mai, des boulangeries bravent l’interdit malgré la loi. Entre « volonté de travailler » et contrôle strict du Code du travail, un combat silencieux oppose artisans et administration. Mais pourquoi la ministre elle-même soutient cette rébellion, tandis qu’une réforme législative s’esquisse en coulisses ?