La cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024 a été marquée par le retour tant attendu de Céline Dion sur scène. La diva canadienne, absente des projecteurs depuis quatre ans en raison de problèmes de santé, a ému le monde entier avec son interprétation poignante de l’Hymne à l’Amour. Cependant, à peine les dernières notes de sa prestation s’étaient-elles évanouies que les spéculations sur son cachet ont commencé à enfler.
Alors que les spectateurs du monde entier étaient encore sous le charme de sa voix, les médias et les réseaux sociaux s’enflammaient déjà autour d’une question brûlante : combien Céline Dion a-t-elle été payée pour cette apparition olympique ? Entre rumeurs astronomiques et démentis officiels, le mystère qui entoure la rémunération de la star ne fait qu’alimenter un débat plus large sur la valeur accordée aux artistes lors de ces grands événements internationaux.
Un cachet qui fait jaser
Les chiffres avancés par différents médias donnent le vertige. TMZ, le site américain spécialisé dans l’actualité people, n’hésite pas à parler d’un montant faramineux de 2 millions d’euros. De son côté, le magazine français Closer évoque une somme légèrement inférieure, mais tout aussi impressionnante, de 1,5 million d’euros. Ces chiffres, s’ils étaient avérés, feraient de la prestation de Céline Dion l’une des plus onéreuses de l’histoire des cérémonies olympiques.
Cependant, il est important de noter qu’aucune confirmation officielle n’a été apportée concernant ces montants. Ni l’entourage de Céline Dion, ni les organisateurs des Jeux Olympiques n’ont souhaité commenter ces allégations, laissant ainsi libre cours aux spéculations les plus folles.
Le Comité Olympique monte au créneau
Face à l’ampleur prise par la polémique, le Comité Olympique a rapidement réagi en publiant un communiqué officiel au début du mois de juin 2024. Dans ce document, l’organisation affirme sans ambiguïté qu’« aucun des participants à la cérémonie d’ouverture n’a été rémunéré ». Cette déclaration, censée mettre un terme aux rumeurs, souligne que les artistes interprètes se produisant lors des cérémonies des Jeux de Paris 2024 ne percevront pas de cachet pour leur prestation.
Cette politique de non-rémunération des artistes, présentée comme une norme par le Comité Olympique, soulève néanmoins des questions sur la valorisation du travail artistique dans le cadre d’un événement d’une telle envergure. Comment concilier le prestige d’une participation aux Jeux Olympiques avec la juste rétribution des talents qui contribuent à leur éclat ?