Cette substance interdite depuis 2020 retrouvée dans 100% des laits analysés

Image d’illustration © Buzzday

L’Ampleur De La Contamination Révélée

Cette pollution invisible frappe au cœur même de la maternité. L’étude dévoile des résultats saisissants : dix femmes volontaires de Paris et sa banlieue présentent toutes du dioxyde de titane dans leur lait maternel, mais avec des écarts vertigineux.

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Certaines mères affichent jusqu’à 15 fois plus de particules que d’autres. Cette variation brutale prouve que la substance « peut passer la barrière de la glande mammaire », selon les scientifiques. Un mécanisme inquiétant qui transforme le lait maternel en vecteur involontaire de contamination.

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Les analyses révèlent l’ampleur du désastre. Dans les laits infantiles du commerce – du 1er au 3e âge, bio ou conventionnels – les chercheurs comptent entre 6 millions et 3,9 milliards de particules par litre. Les laits animaux n’échappent pas au carnage : 16 à 348 millions de particules polluent chaque litre.

« 100% des laits animaux analysés », insistent les experts. Aucune distinction entre bio et conventionnel, entre lait frais et poudre. Vaches, ânesses, chèvres : tous les animaux subissent cette contamination généralisée.

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L’exposition touche désormais trois générations simultanément. Les nouveau-nés dès leurs premiers biberons, les mères allaitantes, les consommateurs adultes : personne n’échappe à cette pollution silencieuse qui s’immisce dans nos organismes malgré l’interdiction officielle. Mais d’où vient réellement cette contamination persistante ?