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Décès du petit Émile : le grand-père en garde à vue prolongée lâche une phrase troublante… J’espère qu’on ne s’intéressera pas trop à

Julie K.
8 Min de lecture

Décès du petit Émile : le grand-père en garde à vue prolongée lâche une phrase troublante… J’espère qu’on ne s’intéressera pas trop à
L’affaire du décès d’Émile, 2 ans et demi, prend un tournant crucial ce 26 mars 2025. Alors que la garde à vue de son grand-père maternel, Philippe Vedovini, est prolongée de 24 heures, une « phrase troublante » prononcée lors de son audition secoue l’enquête. Quatre membres de la famille, dont deux grands-parents et leurs enfants, sont visés pour homicide volontaire et recel de cadavre, tandis que les gendarmes analysent des éléments clés saisis lors des perquisitions. Le délai imparti aux enquêteurs pour statuer sur leur sort se resserre.

L’affaire Émile bascule : prolongation de la garde à vue du grand-père et révélations sur ses déclarations

La garde à vue de Philippe Vedovini, grand-père maternel d’Émile, 2 ans et demi, est prolongée de 24 heures ce mercredi 26 mars 2025, dans un contexte de rebondissements judiciaires. Quatre membres de la famille, dont les grands-parents maternels et deux de leurs enfants majeurs, sont entendus depuis mardi pour homicide volontaire et recel de cadavre. Un jeune oncle, à peine majeur, est aussi « dans le viseur des enquêteurs », selon les termes du parquet.

Les déclarations du patriarche, « J’espère qu’on ne s’intéressera pas trop à moi et qu’on ira chercher ailleurs », rapportées par le journaliste Damien Delseny lors de l’émission Quotidien, créent un électrochoc dans l’enquête. Les avocats du couple Vedovini, Me Julien Pinelli et Me Rachel Benazra, affirment pour leur part une « totale coopération » et rappellent que la procédure vise à « faire émerger la vérité » après deux ans d’investigations opaques.

« J’espère qu’on ne s’intéressera pas trop à moi » : la phrase énigmatique qui alourdit les soupçons

La phrase troublante prononcée par Philippe Vedovini lors de sa garde à vue, « J’espère qu’on ne s’intéressera pas trop à moi et qu’on ira chercher ailleurs », devient un élément clé de l’enquête. Rapportée par Damien Delseny, journaliste au Parisien, sur le plateau de Quotidien, elle est interprétée par certains enquêteurs comme une « forme de nervosité » ou une tentative de détourner l’attention.

Alors que la piste familiale se confirme, cette déclaration alimente les spéculations sur d’éventuels conflits internes ou des non-dits. Les avocats de la famille réaffirment cependant leur « confiance » dans le travail des gendarmes et soulignent que la procédure suit son cours, « sans précipitation ». Près de deux ans après la découverte du crâne et des vêtements d’Émile, chaque mot prononcé par les mis en cause est disséqué sous pression médiatique.

Quatre membres de la famille dans le viseur : homicide volontaire et recel de cadavre au cœur de l’enquête

Les grands-parents maternels d’Émile, Philippe et Anne Vedovini, ainsi que deux de leurs enfants majeurs – un oncle et une tante – sont placés en garde à vue depuis mardi 25 mars. Leurs auditions se déroulent dans « une atmosphère sereine mais soutenue », selon les avocats, alors que le jeune oncle, tout juste majeur, fait l’objet d’une attention particulière.

Les accusations d’homicide volontaire et de recel de cadavre pèsent sur l’ensemble des mis en cause, relançant l’hypothèse d’un drame familial. Les perquisitions menées à La Bouilladisse, domicile des Vedovini, ont permis la saisie d’une « voiture et d’une remorque pour chevaux », éléments désormais analysés par les enquêteurs. Me Julien Pinelli, l’avocat d’Anne Vedovini, réitère : « Nous coopérons pleinement, cette garde à vue est une étape nécessaire ».

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