Disparition du fils de Lio : Son père révèle l’effroyable vérité sur la crise en Thaïlande
La communauté artistique est sous le choc après la mort tragique de Diego, fils cadet de la chanteuse Lio, retrouvé sans vie près de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle le 4 mars 2025. Son père, Jean-Pierre Bellay, brise le silence dans une lettre bouleversante publiée par Paris Match, pointant du doigt une crise psychotique liée à des substances psychoactives consommées lors d’un séjour en Thaïlande. Alors que les rumeurs de suicide circulent, il affirme : « Diego ne s’est pas… », évoquant un « monstre » ayant pris le contrôle de l’étudiant prometteur de l’École Polytechnique de Lausanne.
La disparition tragique de Diego, fils de Lio, et les révélations chocs de son père
Le 4 mars 2025, Diego, fils cadet de la chanteuse culte Lio, est retrouvé sans vie près de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, plongeant sa famille et le public dans l’incompréhension. Âgé de 21 ans, cet étudiant brillant de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne disparaît brutalement après un séjour en Thaïlande, où il aurait consommé des substances psychoactives. Son père, Jean-Pierre Bellay, sort de l’ombre pour contrer les rumeurs et livrer une version glaçante des faits dans les colonnes de Paris Match.
Trois jours plus tôt, le 2 mars, la famille avait lancé un avis de recherche désespéré sur les réseaux sociaux, sans imaginer l’issue fatale. Les autorités découvrent le corps du jeune homme dans des circonstances encore troubles, évoquant un « incendie volontaire ». Dans une lettre détaillée, Jean-Pierre Bellay réfute toute idée de suicide et pointe une crise psychotique aiguë, survenue après l’absorption de drogues en Asie. « Diego ne s’est pas s***dé », insiste-t-il, décrivant comment « le monstre a pris le dessus » dans l’esprit de son fils.
Thaïlande, drogues et crise psychotique : le récit des derniers mois
En janvier 2025, Diego séjourne en Thaïlande, où un drame se prépare. Selon les révélations de Jean-Pierre Bellay, son fils aurait ingéré des substances psychoactives sur place, déclenchant une « bouffée psychotique délirante ». Le père décrit un jeune homme méconnaissable, « tombé malade » brutalement, ce qui le pousse à organiser un rapatriement d’urgence vers Bruxelles pour une prise en charge médicale. Aucun antécédent psychiatrique n’était alors signalé par son médecin traitant.
Jean-Pierre Bellay martèle que Diego n’avait « jamais eu de pulsion s*******aire », contredisant les interprétations hâtives. L’étudiant suivait pourtant une psychanalyse depuis plusieurs années, sans que cela n’alerte les professionnels. Son année sabbatique est marquée par le développement d’une start-up ambitieuse et des projets scientifiques, preuves d’un esprit tourné vers l’avenir. « Il tenait beaucoup à ses engagements », souligne son père, rejetant l’idée d’un acte prémédité.
« Le monstre a pris le dessus » : la lettre déchirante de Jean-Pierre Bellay
Dans sa lettre publiée par Paris Match, Jean-Pierre Bellay livre un témoignage brut sur la lutte de son fils contre la maladie mentale. « Diego avait une multitude de projets en cours », écrit-il, énumérant une start-up innovante et des recherches scientifiques que le jeune homme souhaitait mener pendant son année sabbatique. Le père insiste : « Il n’a jamais eu de pulsion s*******aire. Le monstre a pris le dessus dans sa tête pour le prendre. », une métaphore glaçante pour décrire la psychose.
Cette « bouffée délirante », survenue après le retour de Thaïlande, aurait transformé Diego en « quelqu’un d’autre » selon son père. Malgré un suivi en psychanalyse depuis des années, aucun médecin n’avait détecté de risques avant la crise de janvier 2025. Jean-Pierre Bellay rejette aussi les soupçons d’une carence affective : « Nous étions proches, je l’ai soutenu jusqu’au bout », assure-t-il, dénonçant les rumeurs sur une prétendue absence familiale.
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