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Elae, le prénom qui fait hurler les internautes : cette mère assume face aux critiques, « Je m’en fiche complètement ! »

Julie K.
6 Min de lecture

Emma Louise Hutton, une Britannique de 35 ans, déclenche une tempête sur les réseaux sociaux après avoir révélé le prénom ultra-polémique choisi pour sa fille d’un an : Elae, prononcé comme le surnom de Los Angeles (L.A.). Alors que des milliers d’internautes l’accusent d’avoir « ruiné la vie » de son enfant, la mère de famille assume sans détour face aux critiques : « Je m’en fiche complètement ! » Un débat virulent sur la liberté parentale et les normes sociales s’embrase en ligne.

Une tempête médiatique autour d’un prénom inédit

Emma Louise Hutton, prothésiste ongulaire de 35 ans à Sheffield (Angleterre), partage sur TikTok le prénom de sa fille d’un an : Elae, prononcé comme le surnom de Los Angeles (L.A.). Sa vidéo cumule 4 millions de vues en quelques jours, déclenchant une avalanche de critiques. Les internautes reprochent à cette mère d’avoir choisi un prénom « trop original », jugé incompatible avec une vie sociale et professionnelle épanouie.

Le cœur du débat ? Des commentaires virulents estiment qu’Elae sera harcelée à l’école à cause de ce choix. « C’est de la cruauté envers un bébé », « Elle a zéro réflexion parentale », peut-on lire sous la publication. Certains qualifient même Emma de « chav », terme péjoratif britannique associé aux classes populaires. Malgré les attaques, la vidéo continue de circuler… et divise l’opinion entre détracteurs et soutiens au hashtag #TeamElae.

Une avalanche de critiques et un débat sur l’impact social

Les réactions des internautes oscillent entre « harcèlement assuré » et « égoïsme parental », certains qualifiant même le choix d’Emma de « chav parenting » – une référence au stéréotype britannique associant les classes populaires à de mauvaises décisions éducatives. « Elle a ruiné la vie de sa fille avant même qu’elle ne commence », écrit un utilisateur, tandis qu’un autre ironise : « Bientôt des prénoms comme TikTok ou Snapchat ? ».

Des experts en sociologie interrogés par le Daily Mail rappellent que les prénoms atypiques peuvent effectivement influencer les opportunités professionnelles. Une étude de l’université de Sheffield révèle que 54 % des recruteurs britanniques avouent avoir des « a priori négatifs » face à des prénoms jugés trop originaux. Elae rejoindrait ainsi une liste noire médiatique, aux côtés de KVIIIlyn (prononcé Kaitlyn) ou Hashtag, devenus symboles des excès du naming 2.0.

La défense sans concession d’une mère sous le feu des critiques

« Les adultes qui s’acharnent sur un bébé devraient avoir honte », lance Emma Louise Hutton au Daily Mail, refusant toute remise en question. La Britannique assume son choix avec un mélange de sarcasme et de détermination : « Je ne voulais pas d’un prénom ennuyeux comme le mien. Elae, c’est unique, et mon mari adore ». Elle révèle que l’idée lui est venue d’une cliente évoquant une amie prénommée Elae, un coup de cœur immédiat.

Face aux accusations de « parentalité irresponsable », la prothésiste ongulaire rétorque : « Les gens manquent de créativité. Pourquoi toujours les mêmes prénoms ? ». Son entourage proche la soutient, contrairement à certains followers qui promettent de « signaler la vidéo pour maltraitance psychologique ». Une chose est sûre : Emma ne modifiera pas l’état civil de sa fille, « même si TikTok explose ».

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