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Elle veut voyager avec son fils cancéreux, EasyJet lui réclame 217€ de plus : « C’est minable »

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L’Indignation D’Une Association Spécialisée Face À Cette Discrimination

Cette absence totale d’humanité ne passe pas inaperçue. Marquée par l’épisode, Valérie trouve refuge auprès de l’association « Grandir sans cancer ». L’organisation, habituée à accompagner les familles dans leur combat contre la maladie, découvre avec stupéfaction cette pratique commerciale.

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« C’est particulièrement discriminant », réagit Elise Quillent, médecin et membre de l’association. Son analyse tranche avec la froideur administrative d’EasyJet : « Ce n’est pas une famille qui s’offre un confort supplémentaire : c’est une nécessité, dans un contexte de maladie grave. Le faire payer, c’est minable ».

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Cette distinction frappe par sa simplicité. D’un côté, l’exigence médicale imposée par la pathologie. De l’autre, une logique purement mercantile qui transforme la souffrance en opportunité commerciale.

L’association décide d’interpeller directement la compagnie aérienne. La démarche vise à obtenir des explications sur cette pratique qui pénalise financièrement les familles déjà fragilisées par la maladie.

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La réponse d’EasyJet révèle toute l’étendue du problème. « On nous a dit que c’était comme ça », raconte la professionnelle de santé. Cette formule lapidaire résume parfaitement l’approche de la compagnie : aucune remise en question, aucune compassion, juste l’application mécanique d’une règle commerciale.

Face à cette fin de non-recevoir, l’association comprend qu’elle se heurte à un mur d’indifférence institutionnalisée.

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Un Revirement Tardif Après Médiatisation : EasyJet Reconnaît Son Erreur
Un Revirement Tardif Après Médiatisation : EasyJet Reconnaît Son Erreur Mais parfois, l'indifférence se fissure sous la pression médiatique. Sollicitée par France 3 dans le cadre de son enquête journalistique, la compagnie EasyJet change soudainement de discours. Fini le « c'était comme ça » lapidaire. Place aux explications embarrassées. La société reconnaît finalement une « erreur humaine » dans la gestion du dossier de Valérie. Cette formulation prudente masque difficilement...
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