Les Preuves Accablantes : Quand Les Caméras Révèlent L’horreur
Les images font froid dans le dos. Dans le silence du tribunal correctionnel de Marseille, les vidéos de surveillance défilent sous les yeux choqués de l’assistance. Une forte indignation gagne la salle d’audience.
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Les faits sont là, irréfutables. Dominique G., 49 ans, frappe méthodiquement ce garçon sans défense dans l’intimité de sa chambre. Un jour, plusieurs coups de poing au visage. Un autre, des tirages de cheveux brutaux. Puis des gifles. Quatre agressions filmées, quatre preuves accablantes d’une violence calculée.
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L’homme n’agit pas au hasard. Ces coups portés à Rayan révèlent une stratégie perverse : frapper quand personne ne regarde, torturer en toute impunité. La caméra capture chaque geste, chaque violence infligée à ce jeune homme prisonnier de son lit.
L’auxiliaire de vie connaissait parfaitement sa victime. Depuis près de deux ans, il s’occupait de Rayan, apprenait ses habitudes, ses faiblesses. Cette familiarité rendait ses actes encore plus odieux. Comment un homme chargé de protéger peut-il devenir bourreau ?
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Les vidéos parlent d’elles-mêmes. Elles témoignent d’une cruauté froide, d’une violence répétée contre un être totalement vulnérable. Face à tant d’évidence, Dominique G. allait devoir s’expliquer sur ses actes devant ses juges.
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