
Les Preuves Accablantes Des Caméras De Surveillance Hospitalières
L’enquête aurait pu s’enliser dans un débat de paroles contre paroles. Mais l’hôpital de Gleizé possède un témoin implacable : ses caméras de surveillance. Pour le parquet et la partie civile, ces enregistrements constituent une preuve irréfutable de la culpabilité du gradé.
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Les images parlent d’elles-mêmes. On y voit l’homme se lever péniblement de son brancard, titubant sous l’effet de l’alcool et des médicaments. Sa démarche chancelante le mène directement vers le brancard de l’octogénaire. Arrivé à son niveau, les caméras captent chaque geste avec une précision glaçante.
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Pendant de longues minutes, les enregistrements révèlent des gestes suspects à hauteur de la poitrine de la vieille dame. L’objectif impitoyable des caméras ne laisse aucune place à l’interprétation ou au doute. Ces images constituent le cœur de l’accusation.
Deux membres du personnel hospitalier interrompent finalement la scène. Selon leurs témoignages concordants, ils surprennent le prévenu en train d’embrasser la femme de 89 ans sur la bouche. Cette intervention salvatrice met fin à l’agression, mais le mal est fait.
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Les vidéos de surveillance transforment une affaire qui aurait pu sombrer dans le déni en un dossier béton. Face à ces preuves techniques irréfutables, la défense se retrouve acculée.