
Une Victime Vulnérable Face Aux Justifications Douteuses De L’Agresseur
Acculé par ces preuves vidéo implacables, le commandant de police de 54 ans tente une défense pour le moins fragile. Il déclare ne se souvenir de rien, invoquant une amnésie totale des événements de cette nuit d’avril.
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L’homme justifie ce trou de mémoire par la prise d’alcool plus tôt dans la soirée, combinée aux médicaments administrés suite à sa chute. Une explication commode qui peine à convaincre face à la précision des images de surveillance.
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Plus troublant encore, le prévenu avance sa propre version des faits. Selon son hypothèse personnelle, il aurait entendu la patiente appeler à l’aide et aurait simplement voulu lui porter secours. Une théorie qui s’effondre face à la réalité médicale de la victime.
L’avocate de la partie civile démonte impitoyablement cette défense : « Ma cliente est atteinte de la maladie d’Alzheimer, elle n’a plus la capacité de communiquer […] il faut dire les choses : elle a subi une atteinte sexuelle ! »
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Cette mise au point tranche net avec les justifications de l’agresseur. Comment une femme de 89 ans, privée de ses facultés cognitives par la maladie, aurait-elle pu appeler au secours ? La vulnérabilité extrême de cette patiente rend les explications du commandant encore plus indécentes.