Gérard Depardieu comparaît ce 25 mars 2025 devant le tribunal correctionnel de Paris, confronté à des accusations d’agressions sexuelles, de harcèlement et d’outrages sexistes lors du tournage des Volets verts en 2021. Sous les feux des projecteurs, l’acteur reconnaît pour la première fois un contact physique avec l’une des plaignantes, Amélie, tout en niant fermement les faits décrits. « Je ne fais pas l’idiot », lance-t-il pour justifier ses versions changeantes, évoquant des conseils juridiques contradictoires. Son avocat dénonce une volonté de « faire tomber le monstre sacré », alors que le procès s’annonce déterminant pour la suite de sa carrière.
1. L’ouverture explosive du procès : ambiance tendue au tribunal correctionnel de Paris
Gérard Depardieu fait face ce mardi 25 mars 2025 à sa deuxième journée d’audience, dans une salle comble où l’émotion et la tension se disputent. L’acteur, jugé pour agressions sexuelles, harcèlement et outrages sexistes sur deux collaboratrices lors du tournage des Volets verts en 2021, comparaît sous des conditions particulières, entouré d’une sécurité renforcée. Les médias internationaux braquent leurs caméras sur ses moindres réactions, tandis que les plaignantes, Amélie et Sarah (prénoms modifiés), restent absentes physiquement, représentées par leurs avocats.
L’avocat de l’accusé, Jérémie Assous, ouvre les hostilités en dénonçant une « chasse au monstre sacré », accusant le parquet de vouloir « abattre une icône » plutôt que de chercher la vérité. Les charges retenues exposent Depardieu à une peine pouvant atteindre cinq ans de prison et 75 000 euros d’amende. La présence de sa fille Roxane, visiblement affectée, rappelle l’enjeu humain derrière les slogans médiatiques.
2. Les contradictions de l’acteur : du déni total à l’aveu partiel
Gérard Depardieu déstabilise la cour par ses revirements successifs. En garde à vue, il affirmait « n’avoir jamais touché Amélie », mais ce mardi, il concède un geste : « Je l’attrape par les hanches pour lui parler ». Une volte-face justifiée par des conseils juridiques initiaux qu’il qualifie aujourd’hui d’« erreur ». « Je ne fais pas l’idiot, ni le bête, j’ai fait ce qu’on m’a dit », martèle-t-il, rejetant la responsabilité sur son ancien avocat.
L’avocate générale relève immédiatement l’incohérence : « C’est une troisième version, après celle de la garde à vue et celle de ce matin ». Sous pression, l’acteur rétorque par un laconique « Si vous voulez », tout en maintenant son déni catégorique sur les accusations d’attouchements. « Je n’ai pas touché les parties intimes d’Amélie », insiste-t-il, soutenu par les regards appuyés de Roxane, sa fille présente à l’audience.
First, the H3 title should be something like « Le témoignage glaçant d’Amélie : l’envers du décor des Volets verts » to align with the original plan. Now, looking at the source article, Amélie’s allegations include sexual assault, harassment, and sexist offenses. Specific details mentioned are Depardieu grabbing her by the hips and making inappropriate sounds. The article also notes Depardieu’s denial, his sarcastic remarks, and the support from