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« J’ai cru qu’il était dans le coffre » : les troublantes explications de l’homme qui a traîné son chien à 80 km/h

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Un Drame En Plein Jour Qui Bouleverse La Belgique

Ce vendredi 4 juillet, une scène d’une violence inouïe a secoué la Belgique. À Dalhem, près de Liège, une jeune conductrice assiste à un spectacle qui la marque à vie : un berger allemand traîné sur le bitume, pendu par sa laisse à la fenêtre d’une voiture lancée à 80 km/h. L’animal, prénommé Ares, se débat désespérément contre l’asphalte qui lui lacère la peau.

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La témoin, bouleversée, saisit immédiatement son téléphone pour filmer cette barbarie. Les images, d’une cruauté saisissante, montrent l’animal en détresse totale, ballotté et traîné sans merci le long de la route. Face à cette horreur, elle prend une décision courageuse : porter plainte pour maltraitance animale et diffuser les images sur les réseaux sociaux, en prenant soin de flouter la plaque d’immatriculation.

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Lorsqu’elle parvient enfin à interpeller le conducteur, la réponse de ce dernier glace le sang. À sa question légitime sur le traitement infligé à l’animal, l’homme répond avec un cynisme déconcertant : « Je fais ce que je veux, c’est mon chien ». Cette phrase, devenue virale, résume toute la froideur et l’indifférence de celui qui vient de condamner à mort son propre animal.

Ares n’a pas survécu à cet calvaire. Selon la conductrice témoin, lorsque l’homme est finalement sorti de son véhicule, il a déposé l’animal dans son coffre « déjà sans vie, comme une vulgaire chose ». Les images, diffusées massivement sur les réseaux sociaux, ont provoqué une vague d’indignation sans précédent chez nos voisins belges.

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Cette tragédie soulève des questions troublantes sur les circonstances exactes de l’incident et sur la version des faits que livrera son auteur aux autorités.

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Entre Accident Et Négligence : Les Explications Troubles Du Propriétaire Ces questions trouvent rapidement une réponse troublante au commissariat de police de Liège. Confronté aux images accablantes, l'homme livre une version des faits qui soulève plus d'interrogations qu'elle n'en résout. Sa stratégie de défense ? Plaider l'accident tragique plutôt que la maltraitance délibérée. Selon ses déclarations au parquet, tout aurait commencé vers 19 heures lorsqu'il s'est rendu dans un c...
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