Jean-Pierre Bellay, ex-compagnon de Lio, brise le silence dans Paris Match sur la mort tragique de leur fils Diego, survenue le 2 mars 2025. L’homme réfute catégoriquement la thèse du suicide, évoquant un « monstre dans sa tête » responsable du drame, malgré les projets prometteurs du jeune homme de 21 ans. Il révèle une « bouffée psychotique » liée à un séjour en Thaïlande et détaille leur combat familial contre les rumeurs, tandis que l’enquête se poursuit.
Un drame sous le signe de l’horreur : les faits qui ont bouleversé Lio et sa famille
Le dimanche 2 mars 2025, Diego Bellay est retrouvé sans vie près de l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, dans des circonstances terrifiantes. Le jeune homme de 21 ans s’est immolé par le feu avec un jerrycan d’essence acheté dans une station-service, un acte qui plonge sa famille dans une sidération totale. Lio, star des années 1980, et ses proches lancent immédiatement une course contre la montre pour comprendre, tandis que sa sœur Esmeralda alerte sur les réseaux sociaux : « Il est en grave détresse psychologique ».
Une enquête pour « recherche des causes de la mort » est ouverte, mais les premiers éléments ne laissent aucune trace de violence externe. Les autorités se heurtent à une énigme : comment un jeune homme décrit comme « plein de projets » a-t-il pu commettre un geste aussi radical ? La réponse viendra d’une source inattendue : son père, Jean-Pierre Bellay, qui rompt le silence trois semaines après le drame.
Une révélation fracassante : Jean-Pierre Bellay refuse la thèse du suicide
Dans une lettre exclusive à Paris Match, Jean-Pierre Bellay démonte point par point l’idée d’un geste prémédité. « Diego ne s’est pas suicidé. Le monstre dans sa tête l’a assassiné », écrit-il, rejetant toute antécédent psychiatrique connu. Il insiste sur le suivi régulier du jeune homme par un médecin traitant depuis des années, « qui n’a jamais signalé le moindre trouble », et souligne l’apparition soudaine de la « bouffée psychotique » en Thaïlande.
Le père accuse implicitement les substances consommées lors de ce voyage, citant les propres mots de Diego : « Selon ses dires, il avait pris des drogues là-bas ». Une crise qui aurait précipité le drame, malgré les projets tech et musicaux du jeune homme. « Il voulait améliorer le monde, pas le quitter », martèle Jean-Pierre Bellay, pour qui cette « crise à Paris » a été exploitée par une force intérieure incontrôlable.
Thaïlande, drogues et « bouffée psychotique » : l’engrenage fatal
Le drame trouve ses racines dans un voyage en Thaïlande début janvier 2025, où Diego subit une « bouffée psychotique délirante », selon les termes de son père. Jean-Pierre Bellay le rapatrie d’urgence à Bruxelles, évoquant une consommation de « drogues » révélée par le jeune homme lui-même. Un épisode d’autant plus troublant que Diego n’avait « jamais eu de problème psychiatrique connu » auparavant, comme le confirme son médecin traitant.
Cette crise marque un tournant irréversible. Alors que Diego entame une année sabbatique pour se consacrer à la musique et à une start-up tech ambitieuse, la psychose ressurgit à Paris en mars 2025. « Le monstre a pris le dessus dans sa tête », explique son père, pour qui les substances ingérées en Asie ont ouvert la porte à une force destructrice. Un paradoxe insupportable pour celui qui voyait son fils « plein de projets pour améliorer le monde ».
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