État Critique Du Conducteur : Alcool Et Stupéfiants, Un Cocktail Mortel
La vitre brisée révèle l’ampleur du désastre. Les gendarmes découvrent un homme dans un état alarmant, incapable de coordonner ses mouvements. La prise de sang confirmera leurs pires craintes.
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2,48 grammes d’alcool par litre de sang. Un taux vertigineux qui place Florent G. « au seuil du coma éthylique », selon les termes du tribunal. Plus de trois fois la limite légale. Un miracle qu’il ait pu tenir le volant.
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Mais l’alcool n’est pas seul en cause. Les analyses révèlent également la présence de cannabis dans son organisme. Double intoxication, double danger. Le trentenaire cumule les substances interdites au volant.
Face aux militaires, l’homme reste prostré dans sa BMW. Même l’arme pointée sur lui ne suffit pas à le faire réagir. Est-ce l’alcool qui annihile ses réflexes ou une ultime provocation ? Les gendarmes n’ont d’autre choix que de forcer l’extraction.
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L’interpellation se fait dans la violence. Vitre explosée, débris partout. Il faut plusieurs agents pour sortir ce corps inerte de l’habitacle. Un état physique critique qui aurait pu tourner au drame sur les routes de l’Isère.
Au tribunal, Florent G. avouera une « mauvaise habitude ». Un euphémisme face à la gravité de son addiction. Mais c’est sa justification pour l’excès de vitesse qui laissera l’assistance sans voix.
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