Trois ans après la mort de Nahel, sa mère Mounia rompt un long silence lors d’un entretien exclusif. « Je vis avec son absence comme une plaie ouverte », confie-t-elle, tout en évoquant le projet de loi portant son nom actuellement en préparation. Entre douleur persistante et espoir législatif, ce texte controversé cristallise les débits sur les violences policières tout en peinant à apaiser un deuil maternel « bloqué dans le temps ».

