Mathieu Lezeau (@ma_tribuu), star TikTok avec 2,5 millions d’abonnés, met en lumière un héritage familial gourmand aux racines surprenantes. Aux côtés de sa grand-mère, il dévoile la recette secrète des « pets de nonne », ces beignets légers parfumés au rhum, dont le nom puiserait ses origines dans une anecdote médiévale impliquant… une religieuse maladroite. Entre tendresse intergénérationnelle et astuces culinaires éprouvées, le duo livre aussi ses secrets pour une cuisson « légère comme un nuage », gardant intacte la magie des goûters d’enfance.
Mathieu Lezeau (@ma_tribuu) : le phénomène TikTok qui réunit 2,5 millions d’abonnés autour de sa tribu
Mathieu Lezeau, alias @ma_tribuu sur TikTok, cartonne avec des vidéos où complicité familiale et recettes de grand-mère volent la vedette. Suivi par 2,5 millions d’abonnés, ce créateur mise sur l’authenticité en partageant le quotidien de sa tribu, entre fous rires et transmission culinaire. Ses contenus, centrés sur des plats traditionnels préparés avec sa grand-mère, touchent une corde sensible chez les internautes en quête de « madeleines de Proust » gourmandes.
Le secret de son succès ? Un mélange savant entre tendresse intergénérationnelle et savoir-faire ancestral. Des crêpes bretonnes au bœuf bourguignon, chaque recette devient prétexte à capturer des instants de vie brute, loin des filtres aseptisés. « Les gens cherchent du vrai, des racines », semble dire le jeune homme, dont la vidéo des pets de nonne a récemment enflammé les réseaux avec ses scènes de cuisine chaleureuses et son anecdote historique croustillante.
La vidéo qui a conquis le web : mamie révèle son secret de pâte à l’écran
Dans une sélection d’images au charme vintage, la vidéo montre Mathieu Lezeau et sa grand-mère plongeant main dans la pâte pour préparer ces « pets de nonne » légèrement parfumés au rhum. Les internautes s’arrachent la recette, mais c’est surtout l’alchimie entre le petit-fils et sa mamie qui fait fondre les cœurs : gestes complices, rires étouffés et souvenirs évoqués entre deux cuillères de pâte.
Le clip, visionné des centaines de milliers de fois, révèle un secret de famille bien gardé : l’ajout d’une « lichette de rhum » dans la pâte, une astuce transmise de génération en génération. Les commentaires regorgent de témoignages d’abonnés émus : « Ça me rappelle mes dimanches chez ma grand-mère », « Leur complicité est précieuse ». Une réussite qui prouve que les réseaux sociaux ont aussi un goût… de madeleines revisitées.
L’anecdote historique derrière le nom insolite : quand une nonne fait une découverte culinaire
Derrière l’appellation « pets de nonne » se cache une légende médiévale savoureuse que Mathieu Lezeau relaie avec humour. L’histoire raconte qu’une religieuse, surprise par l’arrivée de visiteurs dans son couvent, aurait laissé tomber une cuillerée de pâte dans l’huile bouillante… donnant naissance à ces beignets gonflés. Une origine parfois contestée, mais qui persiste sous d’autres noms régionaux comme « ronds de chapeau » ou « soupirs de nonne ».
Certains historiens culinaires évoquent une transformation linguistique au fil des siècles : le terme « pet » ferait référence à la légèreté du beignet, tandis que « nonne » renverrait aux religieuses chargées de préparer les repas dans les monastères. En Provence ou en Bourgogne, on retrouve d’ailleurs des appellations similaires, preuve que cette pâtisserie traverse les époques et les frontières… sans perdre son mystère.
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