web statistic

Meurtre à la Maison Blanche : 157 suspects, 132 pièces… La méthode folle d’Uzo Aduba (Orange is the New Black) dans *La Résidence* – « Je traque même les oiseaux… »

Julie K.
5 Min de lecture

La Résidence, la nouvelle série entre Agatha Christie et Joël Dicker, électrise Netflix avec un meurtre à la Maison Blanche. Uzo Aduba (Orange is the New Black) y incarne une enquêtrice géniale traquant 157 suspects dans 132 pièces, armée d’une méthode insensée : « Je traque même les oiseaux ». Produit par Shondaland (Scandal), ce thriller politique mêle casting d’élite et énigmes tordues, devenant N°1 mondial en 48h.

Un crime en plein dîner d’État plonge la Maison Blanche dans le chaos

Le gouvernement australien ne s’attendait pas à ça : lors d’un dîner protocolaire dans la Maison Blanche, le corps sans vie d’AB Wynter, membre du personnel, est découvert. La panique gagne instantanément les 157 personnes présentes sur place, toutes potentiellement suspectes. Le lieu même du crime complique l’enquête : les 132 pièces du bâtiment présidentiel deviennent autant de pièges pour les enquêteurs.

Le FBI mandate alors Cordelia Cupp (Uzo Aduba), une détective au flair légendaire… et aux méthodes pour le moins originales. « La Maison Blanche est une boîte de Pandore », lâche-t-elle en scrutant un geai bleu sur la pelouse présidentielle. Ce whodunit produit par Shondaland (Scandal) transforme le symbole du pouvoir américain en labyrinthe mortel, où chaque couloir dissimule un indice explosif.

Uzo Aduba incarne une détective aussi géniale qu’atypique

L’actrice oscarisée d’Orange is the New Black donne vie à Cordelia Cupp, un personnage à mi-chemin entre Sherlock Holmes et Miss Marple version XXIe siècle. « Je traque même les oiseaux », déclare-t-elle en analysant les battements d’ailes des pigeons de la Maison Blanche. Ses collègues du FBI restent sceptiques face à ses théories ornithologiques, jusqu’à ce qu’un geai bleu révèle l’heure exacte du crime.

« Les oiseaux voient ce que les caméras ne captent pas », justifie la détective en scrutant un nid caché dans la Roseraie présidentielle. Cette obsession minutieuse fait écho au style de Shondaland, qui mélange dialogues cinglants et humour absurde. Les viewers saluent déjà la scène culte où elle interroge un faucon empaillé : « Le twist final vous retourne comme une crêpe », promet un fan sur Twitter.

Shondaland réinvente le huis clos à la Agatha Christie dans la Maison Blanche

Le studio derrière Scandal et How to Get Away With Murder revisite les codes du whodunit avec un sens aigu du suspense. « Chaque couloir dissimule un indice clé », explique Paul Williams Davies, le showrunner, qui a transformé les 132 pièces présidentielles en terrain de jeu mortel. Les escaliers secrets et les salons dorés deviennent des personnages à part entière dans cette énigme