Michel Drucker livre un témoignage saisissant sur les conséquences de sa carrière. L’animateur légendaire lie ouvertement ses deux opérations à cœur ouvert à une addiction au journalisme, qualifiée de « drogue » dans une récente interview. À 80 ans, il décrit un stress persistant rythmant sa vie professionnelle, tout en révélant les mesures drastiques imposées par son état de santé. Un aveu rare qui éclaire l’envers du décor des plateaux télé.
Michel Drucker lève le voile sur son combat secret : « Le journalisme, une drogue qui m’a presque tué »
Michel Drucker établit un lien direct entre sa carrière médiatique et ses graves problèmes de santé. Lors d’un entretien à Télé-Loisirs, l’animateur de 80 ans révèle avoir subi deux opérations à cœur ouvert en moins de trois ans, qu’il attribue à son « addiction » professionnelle. « Comment on débranche ? Car c’est une drogue. Toutes les passions, c’est une drogue », confie-t-il, comparant son métier à une dépendance incontrôlable.
L’homme de télévision admet que ces interventions chirurgicales ont transformé sa vie. « Il y a un avant et un après. Je ne souhaite à personne ce que j’ai vécu », déclare-t-il, évoquant les séquelles physiques et psychologiques. Son aveu frappe par sa brutalité : le rythme effréné des plateaux et le stress permanent auraient précipité son déclin santé, selon ses propres termes.
Deux opérations à cœur ouvert : le prix d’une vie rythmée par le stress
Les deux interventions cardiaques majeures subies par Michel Drucker entre 2022 et 2025 ont laissé des traces indélébiles. « On ne sort pas totalement indemne de deux opérations à cœur ouvert en moins de trois ans lorsqu’on n’a pas moins de 80 ans », explique l’animateur, soulignant la violence physique de ces épreuves. Ces actes chirurgicaux, nécessaires après l’aggravation de ses problèmes de santé, marquent un tournant dans sa relation au travail.
Le monde du divertissement cache en réalité un danger méconnu : le stress chronique des plateaux télé. Drucker pointe du doigt les exigences extrêmes du métier, comparables à une « drogue » selon ses termes. « Je ne souhaite à personne ce que j’ai vécu », insiste-t-il, décrivant un engrenage où passion professionnelle et risques vitaux s’entremêlent. Un constat qui interroge sur les conditions de travail dans l’audiovisuel.
« Le stress ne m’a jamais quitté » : les confessions poignantes de l’icône télé
Malgré cinq décennies de carrière, Michel Drucker avoue un stress permanent devant les caméras. « Le stress ne m’a jamais quitté. Je l’avais quand j’étais môme, parce que j’étais stressé, car j’étais mauvais élève », révèle-t-il, traçant un parallèle entre ses angoisses d’enfant et celles du présentateur chevronné. Un aveu qui démythifie l’image de l’animateur toujours maître de son sujet.
L’homme de télé compare sans détour sa passion du journalisme à une « drogue », insistant sur le caractère addictif du métier. « Toutes les passions, c’est une drogue. Le journalisme, c’est une drogue », assène-t-il, décrivant un engrenage où l’adrénaline des plateaux se paie au prix fort. Une analogie troublante qui éclaire les conséquences physiques d’une carrière sous tension permanente.
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