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Michel Polnareff myope comme une taupe : son aveu troublant sur ses lunettes iconiques. Sans elles, on va croire que je suis…

Julie K.
7 Min de lecture

Michel Polnareff myope comme une taupe : son aveu troublant sur ses lunettes iconiques
« Sans elles, on va croire que je suis… » : derrière ses légendaires lunettes de soleil, Michel Polnareff cache bien plus qu’un simple style. Alors qu’il dévoile son nouvel album Un temps pour elles le 25 avril 2025, l’artiste de ans confie au Parisien ce jeudi 3 avril l’histoire méconnue de cet accessoire devenu son armure. Entre myopie sévère, vertiges inattendus et « peur de disparaître », le chanteur livre une confidence aussi drôle qu’émouvante sur son identité artistique.

Michel Polnareff révèle l’origine médicale de ses lunettes : « Myope comme une taupe »

« C’est-à-dire que j’étais myope comme une taupe. Jusqu’à l’opération avec Hagège », confie Michel Polnareff au Parisien ce 3 avril 2025. Le chanteur de 80 ans lève enfin le voile sur les raisons médicales derrière ses lunettes, portées depuis des décennies. Une myopie sévère l’obligeait à cet accessoire jusqu’en 1994, année où le docteur Hagège l’opère. Un temps pour elles, son prochain album, sert de prétexte à cette confidence inédite.

Aujourd’hui guéri, il pourrait abandonner ses lunettes de soleil. Pourtant, l’artiste avoue un paradoxe troublant : « Quand je ne voyais pas, c’était le bonheur ». Sans correction, il éprouve désormais des vertiges en milieu urbain, une ironie pour celui qui affirme « les mettre pour qu’on sache que c’est bien moi ». Un aveu qui mêle humour et vulnérabilité, typique du mythe Polnareff.

Des lunettes de myope à accessoire iconique : comment elles sont devenues sa signature scénique

Après l’opération de 1994 qui corrige sa myopie, Michel Polnareff transforme un handicap en marque de fabrique. « Sur scène, sans elles, on se demande », plaisante-t-il, révélant que ses lunettes sont désormais un code visuel indissociable de son personnage. Un choix stratégique : cet écran fumé cache ses émotions tout en cristallisant son mystère, devenu essentiel à son aura d’artiste.

Pourtant, dans la vie courante, le chanteur « ne les met pratiquement plus ». Un équilibre fragile entre nécessité passée et image publique. Preuve de ce duel intime : le 26 mars 2025, un fan le reconnaît sans lunettes dans Paris. Polnareff refuse la photo, murmurant « ça me dérange ». L’accessoire n’est plus un outil, mais une seconde peau scénique qu’il ose à peine retirer.

La sortie sans lunettes qui a surpris Paris : pourquoi il a refusé une photo avec un fan

Le 26 mars 2025, Michel Polnareff crée l’étonnement en arpentant les rues de la capitale « sans ses lunettes iconiques ». Un événement rare, tant l’accessoire semble greffé à son visage. « Vous pouvez prendre une photo ? Non, ça me dérange », lance-t-il à un admirateur interloqué. Un refus qui révèle son malaise face à cette version « incomplète » de lui-même en public.

Pourtant, l’artiste assure porter ses lunettes « pratiquement plus » au quotidien. Un paradoxe éclatant lors de cette scène parisienne : sous son chapeau, le visage découvert devient un territoire vulnérable. Preuve ultime que même guéri, Polnareff ne se sent « totalement lui » qu’avec ses verres fumés – un blindage optique devenu condition sine qua non de sa présence scénique.

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