web statistic

Mort d’Émile : La mère du petit garçon lâche un aveu troublant sur ses grands-parents – Je croyais en leur innocence, mais leur comportement…

Julie K.
6 Min de lecture

Mort d’Émile : la mère du petit garçon lâche un aveu troublant sur ses grands-parents. Alors que l’enquête piétine depuis des mois, les doutes de Marie sur l’attitude de ses parents relancent les spéculations. Entre tensions familiales révélées par des écoutes téléphoniques et l’hypothèse d’un « tiers impliqué » évoquée par le procureur, le clan se déchire en silence. Les réunions dominicales à la chapelle d’Aix-en-Provence, symbole d’une unité passée, appartiennent désormais au passé.

Le doute public de la mère d’Émile : un tournant dans l’enquête

Marie, la mère d’Émile, rompt le silence dans une déclaration choc rapportée par le journaliste Arthur Herlin : « Je croyais en leur innocence, mais leur comportement… ». Ces mots, adressés à ses propres parents, interviennent après la garde à vue des grands-parents du petit garçon, levée le 27 mars sans inculpation. Les enquêteurs ont aussi interrogé l’oncle et la tante d’Émile, tous libérés faute de preuves.

Les écoutes téléphoniques ont révélé des tensions cachées au sein du clan, notamment des violences passées du grand-père sur ses enfants. La mère, jusqu’alors solidaire, exprime désormais une méfiance inédite. Une fracture confirmée par Arthur Herlin : « Les parents ne veulent plus voir les grands-parents, sauf obligation ». Ce revirement fragilise l’image d’une famille autrefois unie autour de rituels religieux hebdomadaires.

Les éléments troublants du comportement des grands-parents

Les « attitudes bizarres » évoquées par Marie trouvent un écho dans les écoutes téléphoniques analysées par les enquêteurs. Celles-ci ont mis au jour d’anciennes violences du grand-père sur ses enfants, relançant les interrogations sur son comportement avec Émile. BFMTV rapporte que ces révélations ont conduit les autorités à interroger spécifiquement le patriarche sur d’éventuels actes de maltraitance envers l’enfant.

L’attitude des grands-parents durant l’enquête est scrutée à la loupe : absence de réactions spontanées, contradictions mineures ou silences prolongés. Des éléments qui, selon Paris Match, n’ont pas suffi à les inculper mais alimentent les suspicions. Arthur Herlin précise : « Le procureur n’écarte aucune piste, même si celle-ci semble aujourd’hui moins prioritaire ». Des proches confient à BFMTV que ces tensions préexistaient à la disparition du garçonnet.

Une famille déchirée : des rituels religieux aux non-dits

Avant la disparition d’Émile, le clan se réunissait chaque dimanche dans une chapelle d’Aix-en-Provence, partageant des chants sur une mezzanine. « C’était le symbole de leur unité », souligne un proche interrogé par La Provence. Un rituel aujourd’hui abandonné, selon les confidences d’Arthur Herlin à C l’hebdo : « Ils ne se croisent plus que par obligation ».

La fracture s’est cristallisée autour de non-dits historiques, révélés par les enquêteurs. Les violences du grand-père, évoquées dans les écoutes, et les tensions latentes ont resurgi après le drame. « Ces réunions dominicales masquaient une réalité bien plus complexe », analyse un source proche du dossier. Les parents d’Émile, qui évitent désormais tout contact avec les grands-parents, incarnent cette métamorphose familiale brutale.

*La suite de l’article sur la page suivante*