web statistic

SSSS sur son billet : Tom Grond (100 vols/an) révèle ce qui l’a surpris après l’Iran et l’Irak « Les douanes ne m’ont pas… »

Julie K.
5 Min de lecture

Tom Grond, l’influenceur voyage aux 100 vols par an, a vécu une expérience inédite en découvrant le code « SSSS » sur son billet d’avion à destination des États-Unis. Alors que ce sigle, surnommé le « baiser de la m\*rt », déclenche habituellement des contrôles renforcés, son passage en zone sensible après des séjours en Iran et Irak a débouché sur une surprise : les douanes américaines ne lui ont « pas posé une seule question ». Une révélation qui bouscule les idées reçues sur ce protocole de sécurité redouté.

Tom Grond, un globe-trotteur aguerri face au mystère SSSS

Tom Grond, alias « Traveltomtom », est une référence dans l’univers du voyage. Avec plus de 100 vols annuels et un blog suivi par des milliers de passionnés, il partage astuces et découvertes depuis des années. Une expertise qui rend sa rencontre avec le code « SSSS » d’autant plus édifiante.

C’est à l’aéroport de Francfort, en partance pour les États-Unis, que l’influenceur découvre ce sigle inquiétant sur sa carte d’embarquement. Une première pour lui, malgré ses innombrables trajets : « Je prends l’avion plus de 100 fois par an… et c’était la première fois que je voyais ça », confie-t-il dans une vidéo TikTok devenue virale. Un paradoxe qui intrigue et pose les bases d’une révélation inattendue.

SSSS : le code « baiser de la m\*rt » décrypté

Apparu après les attentats du 11 septembre 2001, le sigle « SSSS » signifie « Secondary Security Screening Selection ». Concrètement, il déclenche un contrôle de sécurité renforcé pour les passagers sélectionnés, que ce soit pour des réservations last-minute, des achats en liquide, des voyages dans des zones à risque – ou simplement par tirage aléatoire.

Pourtant surnommé « baiser de la m\*rt » par les voyageurs, ce code génère souvent des scénarios catastrophe en tête. Tom Grond tempère : « Officiellement, c’est juste une vérification supplémentaire… En réalité, c’est bien moins dramatique qu’on ne l’imagine ». Une façon de rappeler que le processus, bien qu’impressionnant, reste une formalité routinière pour les autorités.

Scène à Francfort : prélèvements et valise éventrée

Direction une zone séparée de l’aéroport de Francfort : Tom Grond y subit le protocole SSSS. Des agents prélèvent des échantillons sur ses vêtements, ses chaussures et son sac, puis inspectent minutieusement son bagage à main. « On m’a pris des échantillons… mais tout est resté courtois », relate-t-il, soulignant le professionnalisme des équipes.

Malgré ses voyages en Iran et en Irak – des destinations souvent perçues comme sensibles –, l’influenceur ne se voit poser aucune question supplémentaire pendant le contrôle. Une absence de méfiance qui contraste avec les récits alarmistes habituellement associés au code « SSSS ».

*La suite de l’article sur la page suivante*