Une balle de tennis dans les mains, trois balles de revolver dans le dos : l’histoire glaçante de Radhika Yadav révèle comment l’indépendance financière d’une femme peut devenir un crime aux yeux de certains. Cette joueuse professionnelle de 25 ans, qui progressait sur le circuit international et formait la nouvelle génération, a payé de sa vie sa décision d’ouvrir sa propre académie. Ce que cachent les « moqueries du quartier » et la dépendance financière que son père refusait d’accepter dévoile une tragédie qui dépasse largement le monde du sport.
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Trois balles dans le dos. C’est par ces gestes d’une…
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