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Zaz révèle son addiction cachée : « Je fumais trois paquets par jour, ça devenait… »

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Un Nouvel Album Aux Confessions Troublantes

Cette transformation personnelle trouve son aboutissement dans Sains et saufs, le sixième album que Zaz s’apprête à dévoiler à la rentrée. Un projet musical où l’artiste puise dans ses blessures les plus intimes pour livrer ses confessions les plus troublantes.

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L’album aurait pourtant pu porter un tout autre nom. « On a hésité parce qu’il y a une autre chanson qui s’appelle Au pays des merveilles, qui parle de la dépendance. Je trouvais ça joli Au pays des merveilles », révèle-t-elle dans Le Club de L’été sur Europe 1. Un titre qui résonne comme un aveu, une plongée dans l’univers parallèle des addictions.

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Mais la chanteuse a finalement opté pour une autre voie. « Que le ton de cette chanson soit l’album, ce n’était pas bon. Parce que j’ai réussi à affronter pas mal de peurs. J’ai été courageuse et c’est ça qui reste », explique-t-elle avec une lucidité saisissante.

Car derrière ces mélodies se cache une vérité dérangeante. « Cette dépendance, c’étaient des béquilles, ce sont des choses qui m’ont servi, ça m’a aidé parce que ça m’a permis de survivre », confesse l’artiste. Des aveux qui transforment son processus créatif en véritable thérapie publique, où chaque note devient un pas vers la guérison.

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L'Escalade Inquiétante Vers La Dépendance
L'Escalade Inquiétante Vers La Dépendance Ces béquilles salvatrices se sont pourtant transformées en chaînes. Derrière les mélodies de Sains et saufs se cache une réalité plus sombre : celle d'une spirale addictive qui a failli emporter l'artiste. « J'étais à trois paquets de cigarettes par jour », lâche Zaz avec une franchise brutale. Un chiffre vertigineux qui révèle l'ampleur de sa dépendance. Mais le plus troublant reste cette mécanique implacable : « À chaque fois que j'...
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