Sauce échalote au vin rouge et crème fraîche : les secrets d’un accompagnement riche en saveurs (sans passer des heures aux fourneaux)
La poêle non nettoyée après cuisson de la viande devient l’ingrédient magique de la sauce. Les sucs de cuisson, mélangés à l’échalote émincée, au thym et à l’ail écrasé, servent de base à un déglacage express au vin rouge. « On réduit presque à sec pour concentrer les arômes, puis on ajoute crème ou beurre… ou les deux ! », s’amuse Alexandre Czech, prônant un équilibre entre onctuosité et intensité.
Le tour de main ? Grattez les résidus de cuisson avec une spatule pendant que le vin s’évapore. Pas besoin de fond de veau ou de réductions compliquées : en 3 minutes chrono, la sauce prend corps. Un dernier coup de sel, un nuage de ciboulette ciselée, et elle est prête à napper l’onglet tranché. Astuce pro : réserver la viande pendant ce temps permet aux fibres de se détendre, garantissant une découpe parfaite sans perte de jus.
Purée Robuchon ou riz sauvage ? Les accords idéaux pour sublimer votre plat et impressionner vos invités
Le onglet sauce échalote se marie à merveille avec des accompagnements simples mais raffinés. La purée Robuchon, onctueuse et généreuse en beurre, épouse la richesse de la viande, tandis que le riz sauvage apporte une note croquante et légèrement noisettée. Pour une option plus automnale, Alexandre Czech suggère une poêlée de champignons persillée de ciboulette, qui dialogue avec les arômes boisés du thym de la sauce.
L’astuce imparable : présenter le plat sur une assiette tiède, avec la viande tranchée contre les fibres pour maximiser la tendreté. « Ne noyez pas la viande dans la sauce : un filet autour, un autre sur le dessus, et le tour est joué », conseille l’influenceur. Un vin rouge léger (type Beaujolais) ou un verre de cidre brut complètent ce repas dominical transformé en expérience gastro-express.