L’affaire Émile secoue toujours les Alpes-de-Haute-Provence. Un an après la découverte de ses ossements, les enquêteurs convoquent 17 proches, dont des membres de sa famille, pour élucider les circonstances de sa mort violente. Alors que le traumatisme facial confirme la piste criminelle, une question obsède : le meurtrier a-t-il délibérément choisi la période de Pâques, symbole de résurrection, pour déplacer le corps ?

